Aux murs, posées au sol, elles évoquent avec modestie les merveilles architecturales de passés glorieux, Cordoue, Rome, Istanbul. Mais ici les arches ne soutiennent rien d’autre que l’atmosphère intime du quotidien. Un reflet parfois.
Et le regard ne peut s’empêcher de glisser inlassablement sur leur courbe, de gauche à droite, de droite à gauche, en un jeu qui s’oublie presque.
Georges Iliopoulos