« Goethe disait : “Tous les objets dont nous sommes entourés dès l’enfance conservent toujours à nos yeux quelque chose de commun et de trivial”. Comme cela s’applique bien aux plantes ! »
Certaines circonstances semblent susceptibles de faire naître en nous le délice propre au sublime, au sein même de la paisible familiarité du chez-soi.
Dans le langage quotidien et notamment lorsqu’il s’agit de décoration, l’usage du terme « sublime » en fait un simple superlatif du beau, une emphase, sans qu’il ne caractérise plus précisément les objets auxquels on l’applique.
Certains décors aux motifs végétaux nous fascinent précisément par le foisonnement délicat de l’arabesque, par la dynamique des lignes courbes et sinueuses.